Dark Blood [ Participation libre ]

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Nous sommes le 13 Décembre 2012, le monde tel qu’il existait avant ne doit certainement plus exister, tout n’est plus qu’un champ de ruine où les plus fort sont devenu cannibale et où les plus faible essaye de survivre, tout commença le 12 Décembre 2012 à 12h12.

Je suis Suzuka Ayato et je suis un survivant.



J’étais en visite à Tokyo, nous étions le 12 Décembre 2012, il était 10h15, je marchais tranquillement dans la rue, je voyageais, je n’étais jamais venu dans cette ville pourtant je vis au Japon, je voulais découvrir la ville natal de mes défunts parents.
Je me souviens avoir regarder ma montre, il était 12h11, soudain, il n’y eu plus de lumière nulle part, ni de musique, comme si quelque un venait de couper l’électricité et puis, il y a eu une lumière éclatante, aveuglante, je ne voyais plus rien, quand la lumière c’est retiré, il me fallut quelque seconde afin de retrouver l’usage total de mes yeux, il y eu une secousse qui me fit tomber et un grondement sourd commença, le sol tremblé tellement fort qu’il y eu un mouvement de panique, je m’étais relevé et j’avais été prit dans la marais humaine prise dans un torpeur indéfinissable.
Tout était confus et je fus entraîné presque de force dans une station de métro, il y eu une autre secousse alors que le grondement se faisait de plus en plus fort, je me rappel d’être tomber dans les escaliers et alors que le plafond s’effondrait au dessus de nos têtes, d’avoir passé la première porte que j’eu trouvé, il y eu alors une plus grande secousse et plus rien.

Voilà c’est ainsi que je me réveil dans le noir absolu, je ne vois rien hormis la minime lumière de ma montre qui m’indique l’heure et la date, nous sommes le 13 Décembre 2012, il est 4h00 du matin, et il fait si froid pourtant nous sommes en été, je trouve cela plutôt étrange mais après les événements de la veille, je ne sais plus quoi faire, ni même quoi penser, je suis dans une pièce close, je n’y vois rien mais il me semble entendre du bruit, se pourrait-il que je ne sois pas le seul survivant dans cette pièce

_Hé !!, es-ce qu’il y a quelque un ? Je suis Ayato, vous avez de la lumière ? Vous n’êtes pas blessé ?

Je n’entends rien, rien que le silence et ce froid qui me glace le sang, je me lève lentement, j’ai encore mal au dos, cette chute dans les escaliers a été douloureuse pour moi.

-Y’a quelqu’un. Je … Je m’appelle Jun, non aucune lumière & non, je ne crois pas être blessé. & vous ?

Je relève la tête, je ne suis donc pas seul, j’avance un peu mais je me retrouve contre un mur, ce noir ne me fait pas trop peur, c’est ce froid et de me demander ce qu’il c’est passé qui m’effraie le plus, dans quel état est ce bâtiment ?
En espérant que le plafond ne nous tomberas pas dessus.

_Qu’est ce qu’il se passe ?!

Je sens de l’affolemant dans la voie de cette personne, je me retourne et m’adosse contre le mur, j’essaye de crier pour l’interpeller mais les mots de sorte pas, je suis plus épuisé que je ne le pensais en faite.

Soudain, il y a un cri affreux, un hurlement, je prends peur, sans réfléchir je me précipite droit devant moi.

-Aidez moi, aidez moi, aidez moi ...

Je dois l’aider, je me dois de l’aider, nous sommes peut être trois, je ne sais même pas où je vais-je cours droit devant moi.

_J’arrive n’ayez pas peur !!!

Et voilà, je panique à mon tour, ça ne va certainement pas nous aider, soudain, il y a une secousse, une de plus, j’entends des pierres tomber, elles viennent du plafond, une érafle ma main droite, des larmes coulent le long de mon visage, je suis en peur panique, je titube, je manque de tomber, je me rattrape de justesse mais mon pied gauche percute quelque chose, je perd l’équilibre et je tombe.

Ma panique ests alors stoppé net, quand ma tête vient à percuter le sol, j’entends des bruits étranges, quelque chose qui résonne au loin, comme des grincements métalliques c’est plutôt étrange, ma vision est troublé mais je vois juste devant mes yeux une très légère lueur, je n’y vois pas bien, je sens une chose chaude qui coule depuis mon nez.

Ma vision se rétablie peu à peu, le bruit disparaît, j’ai mal à la tête, ça tourne, la lueur est l’écran d’un téléphone portable, il n’éclaire pas à plus de 10 centimètre mais cette vision est un peu comme une vision d’espoir pour moi, l’écran est brisé, je ne reconnais pas l’image en fond d’écran, une goutte de sang tombe sur l’écran, je me touche le nez, il y a un truc chaud, je saigne donc du nez, je me le suis peut être briser, je n’entends plus aucun bruit, je m’assois au sol, le téléphone entre les mains.

_Je …je suis tombé, vous allez bien vous ? Moi je crois que je me suis brisé le nez, ça fait très mal

Je m’étreins fortement le nez, quelques minutes passent, finalement je ne saigne plus nez, il n’est pas cassé, fausse alerte.

_Ouep, moi ça va & l’autre fille euh je pense que oui. Tu croies que les secouristes vont bientôt arriver ? T’as pas trop mal au nez ?

Nous ne sommes plus si éloigné finalement, il y a comme un silence, j’attends je ne sais quoi pour lui répondre, que cet enfer est sombre, j’allais lui répondre quand une voie faiblarde retentit.

_On … On fait quoi ?

Je souris bêtement, je regarde l’écran de ce portable entrain de s’éteindre, il y a peut être une quatrième personnes dans cette pièce qui a perdu son portable à cet endroit même, l’écran s’éteint, nous replongeons dans de sombre ténèbre.

_Jun c’est ça ? Ta sollicitude me touche mais tu peux garder ta compassion pour toi, je doutes qu’il va y avoir des secours, on doit être ensevelis sous terre et j’ignore ce qu’il c’est passé j’étais dehors quand ça a commencé, je marchais dehors et … enfin bon on s’en fout pas mal puisqu’on est là

Je déteste qu’on se fasse du soucis pour moi, surtout de la part d’un parfait inconnu, j’aime pas les lèches culs, quoi qu’il en soit, cette jeune fille m’intéresse beaucoup plus.

_Et toi jeune fille ? C’est quoi ton petit nom ?

J’ai encore mal au nez mais c’est pas grave, c’est rien du tout, pourquoi j’ai dit que j’avais mal, j’ai pas besoin de la pitié des autres.
Je n’entends pas la voie du garçon, c’est pas bien grave non plus, puis la voie de la jeune fille résonne, elle est plus calme .

_Nozomi, je m’appelle Nozomi Sasaki. & vous ? Je n’ai pas entendu vos noms.

Jolie prénom, je vais me présenter encore une fois, même si il me semble avoir déjà donné mon nom, je déteste me répéter.

Se fait alors entendre un bruit strident, très violent, on dirait le cri d’une femme mais il est très loin de nous.

_Je suis Ayato, je pense que nous devons nous déplacer, j’ai pas trop envie de rester ici, nous devons trouver de quoi nous éclairer

Je me relève difficilement, ma cheville me lance un peu mais ce n’est rien, ça va passé, mon nez ne saigne plus, c’était une hémorragie mineur et ce noir ne me dit rien qui vaille, de plus, la dernière secousse a fait tombé de très grosses pierres.
L’autre garçon ce Jun me répond:

_Non, restons là. Il ne faut surtout pas bouger, ce sera plus simple pour les secouristes de nous retrouver comme ça. Puis tout ce qu’on risque à bouger ici, c’est de se blesser d’avantage. Ayato, toi tu as déjà ta cheville douloureuse et ton nez aussi d’ailleurs & Nozomi est fragile, il ne faudrait pas qu’elle se blesse.

Son résonnement est pourtant juste cependant, on ne peut pas rester ici, il poursuit:

_Puis pour la lumière, moi j’ai toujours mon téléphone portable

Comme si un portable pouvait faire de la lumière comme une torche, je fouille dans mes poches et je ne trouve rien, j’ai perdu ma lampe torche durant ma chute dans les escaliers avant de me retrouver ici, j’ai toujours mon couteau à cran d’arrêt, c’est toujours ça de bien.
La fille dit alors:

-Je suis d’accord avec lui Ayato, surtout si vous êtes blessé.

Ces deux froussards devraient se marier, je déteste les gens peureux en plus, mon précepteur m’a toujours dit de fuir les gens faible, il ne ferait que me ralentir dans mes objectifs, mais bon, je dois faire avec, je suis bloqué et il n’y a que cet imbécile de Jun qui a une source lumineuse.
La jeune poursuit:

-Euh Joon, c’est bien ça hein ? Vous, enfin tu, n’as pas de réseau je suppose ? Puis, je pense qu’on devrait se rapprocher les uns des autres plutôt que d’être autant éloignés …

Sur ce point je suis d’accord, je vois alors la lumière du portable du garçon, je me dirige vers lui lentement, je vois alors la fille, elle est très belle je trouve, je la regarde fixement puis je jette un regard presque furtif sur le garçon mais alors que je vais parler, il y a une autre secousse et quelque chose tombe pile entre nous, je perds l’équilibre et tombe en arrière, j’entends alors un son étrange, quelque chose qui tombe, je lève la tête et je vois une lumière, c’est quelque chose qui tombe du plafond, c’est une torche, je vois alors avec horreur, des tonnes de décombres, le plafond n’est plus qu’un gruyère de décombre, la torche continue sa chute me montrant un désastre que j’avais minimisé, nous sommes très mal, si cela tombe, la torche tombe finalement au sol, il n’y a alors plus aucun bruit, le silence est complet, je ne me demande qu’une chose, qu’es ce qui est tombé juste devant nos nez, je pense que c’est une personne, celle là même qui tenait cette foutue lampe.
Je me relève et attrape la lampe, je l’éteins et je dis:

_Soit j’allume la lampe et on regarde ce qui vient de tomber, soit on part par le trou dans le mur derrière vous, si vous voulez rester ici, vous y resterez seul, moi il est hors de question que j’attende que cette pièce devienne ma tombe, il c’est passé quelque chose d’énorme dehors, un truc qui dépasse nos imaginations

Il y a comme un silence, soudain c’est ce Jun qui brise le silence

_Oups

Pourquoi il dit ça lui, je me demande ce qu’il a fait à cette fille, mais bon, je ne les vois pas dans ce noir, je devrais peut être allumer la lumière, j’ai l’impression d’être le héros le possesseur de la lumière

_D’accord Ayato, bougeons. C’est que tu tiens pas en place hein …

Il me prend pour qui celui là, j’aime pas dut out ses sous-entendu mais c’est pas le moment de m’énerver, je vais mettre mon caractère de coté. Il veut peut être déstabiliser les gens, dans un moment pareil, ce type est inconscient du danger qui nous guette, je vais le remettre en place mais la petite voie de Nozomi me coupe:

-Passons par ce trou alors mais … On peut rallumer la lumière s’il te plait Ayato ?

Bon je m’apprête à allumer la lumière quand la jeune fille ajoute:

-& Joon touche moi encore, je te jure que je sais me défendre !

Un peu d’ambiance, ça fait du bien, bon, il est temps d’agir

_Je vais allumer la lumière

J’allume la torche et la dirige en direction de ce qui nous est tombé dessus, mes craintes se justifies, c’est le corps d’un homme, je le retourne, le pauvre homme a le visage lacéré de multiple entaille très profonde, je lève la lampe vers le plafond éventré, ne montrant que des trous jusqu’à perte de vue, on ne voit pas l’extérieur, ma montre c'est éteinte, je me demande qu’elle heure il est à présent, je me baisse, retire la veste du cadavre, je là tends vers Nozomi

_Tu vas attraper froid, mets ça

J’enjambe le cadavre, passe prés de Jun et lui dit en chuchotant:

_Encore un sous entendu et je te crève

Je passe le trou béant dans le mur, je balaye cette nouvelle pièce avec la torche, toujours al même chose, des ruines, sauf que de l’eau coule du plafond et on entend des bruits de craquement comme si tout aller s’effondrer, je vois une rame de métro arrêté

_On va voir dans ce métro si il reste des trucs à récupérer parce que j’ai faim

Alors que je commence à avancer, je me demande, si ce qui est passé à l’extérieur est finalement ce que je pense, il faudrait pouvoir voir l’état du monde extérieur ou trouver quelqu'un de vivant, l’homme qui est tombé des entrailles du plafond était drôlement amoché, certainement des blessures dut à la chute dans les entrailles du sol, du moins je l’espère, continuons d’avancer.

_Moi aussi j’ai faim.

Il raconte quoi lui, il veut mon point dans la gueule, il me passe devant, son petit sourire vicieux commence à sérieusement m’énerver, je commence à m’avancer, il avance en direction de l’intérieur du métro et j’entend encore sa voie qui me courrouce dire:

-Faim de toi Ayato …

J’allais lui coller une droite, cet imbécile est entrer dans la rame de métro, sans lumière, quel espèce d’idiot attardé, je vois une légère lumière s’allumer dans le métro, sûrement le téléphone portable de l’imbécile heureux, il dit alors:

-Hey Aya, t’as pas envie d’une belle chemise rayée grise & blanche taille XXL ?

Je suis en colère là, je prête même pas attention à Nozomi rester en retrait, c’est maintenant que je me dis, que tout à l’heure elle a laissé tomber la veste que je lui tendais mais là je suis trop énervé,
Je sers le point, je dois pas sortir mon couteau

-Ferme là Jun, tu commence à me porter sur les nerfs toi et ta foutue chemise tu peux te la foutre dans le cul, j’en ai rien à foutre

Je me demande ce que fait Nozomi, je m’en fout de Jun de toute manière, je rebrousse chemin, je balaye la pièce d’où nous venions pas de Nozomi, j’avance, je m’engouffre dans la pièce c’est bon je l’ai trouvé, elle regarde une photo, elle est assise par terre et elle pleure, elle parait si effondré, que lui arrive t’il ?

J’avance vers elle, mais en entrant dans la pièce un truc m’a interpellé je me retourne, je vois bien la veste au sol mais où est passé le cadavre, je m’approche lentement de Nozomi en balayent la pièce avec ma lampe, j’attrape Nozomi par le bras et le relève brusquement, je rapproche ma tête de la sienne et lui chuchote à l’oreille

-Ne dis plus rien Nozomi, le cadavre n’est plus dans la pièce on va sortir lentement et rejoindre Jun dans le métro

Je me retourne et je vois une longue traîné de sang, qui quitte la pièce et s’éloigne dans les ténèbres des ruines du métro, à l’opposé de notre rame de métro.
Se pourrait-il finalement que ce soit vraiment ce dont je pense, il faut que je retrouve mon sac à dos, il doit pas être bien loin, il a dut tomber pendant la chute dans les escaliers.

Je jette un petit coup d’œil rapide à la photo que Nozomi tien dans ses mains, mais comment ?, c’est Sasaki Hajime !
Je regarde Nozomi, lui projetant le rayon lumineux de la torche en plein dans les yeux et lui dit d’un ton un peu sec:


-Nozomi, quel lien t’uni à Sasaki Hajime ?!

Nozomi a le regard vide, elle est en état de choc, probablement le choc, je me demande, non je veux savoir le lien qui l’unit à Sasaki Hajime, elle murmure alors d’une voie presque inaudible:

-Mon époux … C’est mon époux. Y a du sang ; du sang partout …

Son époux, c’est donc la femme de Hajime, il ne devait pas emmener de conjoint, il a joué à quoi ce fou, je dois savoir si ce qui est arrivé ici est bien ce que je pense.
J’entends alors la voie de Jun retentir, il cri, je balaye de ma lampe la zone mais je ne vois rien, j‘entends alors Jun dire:

-P’ta*n, faites gaffe y a un gosse enragé qui vient de me mordre. Han l’enflure …

Mais de qui peut-il parler, ce pourrait-il que mes pires craintes se précisent, cela n‘aurait pas dut arriver, Nozomi est allongé au sol en position de fœtus, elle panique mais il n’est pas le moment de paniquer, je dois là réveiller, je peux pas là laisser en panique comme ça.

-Désolé Nozomi

Je lui mets alors une gifle énergique, pas le temps de vérifier si elle est revenu à elle, je là soulève par le bras droit et je la traîne presque de force jusqu’a la rame de métro, je fias un signe de la main à Jun, je suis pressé j’assois Nozomi à coté de Jun, je viens de voir qu'il y a un cadavre avec une chemise bien trop grande pour lui, c'est ce que disait Jun c'est plutot ridicule.

-Surveille là, je,dois fouillé les décombres pour trouver mon sac, j’ai de quoi te soigner dedans, ensuite je vais devoir vous dire deux ou trois choses, occupe toi de Nozomi mon petit Jun

Je lui souris et ressors presque aussitôt.

J’espère que Jun ne va pas violer Nozomi, je continue en avançant tranquillement, je me saisit tout de même de mon couteau, j’ai vu la blessure de Jun, si c’est-ce que je pense, je dois le soigner au plus vite, j’espère qu’il n’y en aura pas trop ici, tien je vois enfin mon sac, je dois en avoir le cœur net, je dosi savoir si ce qui est arrivé c’est bien cela, je me saisis de mon sac et j’entends alors d’étrange bruit provenant du fond de la station comme quelque chose qu’on traînerait au sol, quelque chose de lourd et imposant, je fouille dans mon sac et j’en sors un revolver, je ‘ouvre c’est bon il est chargé, je le range dans ma poche, referme le sac et retourne vers notre rame de métro.

Alors que j’approche de notre rame, je vois Nozomi debout entrain d’essayer de retirer le marteau brise glace de son boîtier, elle a de l’instinct de survis finalement la petite, je l’entends alors dire à Jun:

-Dis, je peux voir ta blessure ? Je suis prof’ en médecine, tu peux avoir confiance …

En entendant ses mots, je rentre brusquement dans le métro et je dis d’une voie grave et d’un ton sérieux

-Certainement pas, tu ne vas pas toucher à cette blessure Nozomi

Je m’avance et lui fait signe de se rasseoir, je me baisse devant Jun et lui dit:

-Ne va pas te faire d’idée, je dois examiner ta blessure au plus vite

Je coupe le jean de Jun au niveau du genoux et retire la partie découpé une morsure, c’Est-ce que je pensais finalement, je dois nettoyer le sang et stopper l’infection, je prends dans mon sac une petite bouteille et une compresse je dis alors:

-Sers les dents c’est de l’antiseptique
Je verse le produit directement sur la plaie et frotte avec ma compresse, la morsure est très profonde, il va avoir du mal à marcher pendant un petit moment, je me saisis d’une seringue remplis d’un produit vert et la pique dans la blessure et injecte l’intégralité du produit, il doit souffrir je lui fais alors un pansement, en me laissant tombé en arrière je touche un cadavre, je me retourne avec la lumière.

Merde, c’est Sasaki Hajime, je regarde Nozomi qui n’a pas l’air d’avoir vu de qui est le cadavre, je me relève et traîne le cadavre plus loin, je fouille dans ses vêtements, il n’a rien sur lui, alors que venait-il faire ici ?
Se pourrait-il qu’il venait à ma rencontre, qu’avais-tu découvert Hajime ?

Je me rapproche de Jun et Nozomi

-Je suis venu au Japon pour assister un groupe de scientifique dirigé par ton mari Nozomi, nous travaillons sur des choses confidentielles, en rentrant du laboratoire, je prenais la rue où se trouve cette station de métro, lorsque j’ai été aveuglé par une puissante lumière aveuglante, il y a eu alors une coupure général du courrant puis le sol à commencer à trembler et les bâtiments à chuter, j’ai été apé par une marais humaine jusqu’à dans se métro, je ne sais pas trop ce qui se déroulé amis c’est tout sauf un tremblement de terre, alors faite super attention, Nozomi tu es armé c’est bon

Je pose la torche sur un siège derrière nous, je tends mon couteau à Jun en sortant mon revolver et je dis

-Prend ce couteau tu en auras besoin, on ne sait jamais ce qui peut arriver